C'est dingue ! Elle a une relation de malade avec son chien

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“DANS LA VIE, LE PLUS SÛR DES AMIS, LE PREMIER À VOUS ACCUEILLIR, LE PREMIER À VOUS DÉFENDRE, CELUI DONT LE CŒUR HONNÊTE APPARTIENT POUR TOUJOURS À SON MAÎTRE, QUI TRAVAILLE, SE BAT, VIT ET RESPIRE POUR LUI SEUL.”

George Gordon Biron

Notre première rencontre, nos premiers instants

“Si je ne le prends pas maintenant, j’en prendrais jamais!”

La première fois

Je suis tombé par hasard sur une annonce de 2 mâles à vendre (photo ci dessus). Un chocolat petit gros, et un noir et blanc. Je ne sais pas pourquoi mais c’est le chocolat qui m’a attiré (alors que j’ai toujours voulu un husky noir et blanc). J’ai donc fais plus d’une heure de route pour aller voir la petite bouille qui grandissait en famille, mais que je suis allez voir à l’élevage (la maman est dans une famille, et le papa a l’élevage).

Le chiot restait dans son coin,

Il s’en foutait un peu de tout le monde.

Une semaine après notre rencontre je suis retourner a l’élevage pour le prendre. Car je me suis simplement dis “Si je ne le prend pas, j’en prendrais jamais un”, dans le sens ou il fallait que je saute le pas.

Par contre, je me suis presque heurté à un problème, la femme qui a la mère du chiot, a hésité à me laisser le prendre, car je n’ais pas de réel situation stable. Elle pense tout de suite au bien du chien. Je l’ai rassurer en lui disais que j’ai tout ce qu’il faut, et que j’arrive toujours à ma débrouillé. (Aujourd’hui elle ne regrette pas du tout, elle a des nouvelle et le vois grandir même si c’est a travers un ecran).

Le commencement

J’ai un tout de même un certain temps à réalisé, que j’avais enfin MON HUSKY !

C’était un rêve pour moi, comme beaucoup de personnes je pense.

Je vis dans un appartement de 50m², sans jardin, je me disais que je ne pouvais pas avoir un chien dans ces conditions, et en plus avec un emplois en Usine 3×8. Et pourtant Janvier 2015, je suis aller le chercher le dimanche soir, alors que, le lendemain j’étais en poste de matin, donc le chien tout de suite seul. Au moins il a été habitué à rester seul.

Au début ce n’étais pas une relation particulière, des personnes me disaient que on avait un “truc” lui et moi, mais je ne trouvais pas du tout!

Depuis bébé tout ce que je fais, c’est lui parler tout le temps (oui je parle à mon chien :-P).

Je l’emmenais partout avec moi, car si j’ai pris un chien c’est afin de partager des choses avec lui, le prendre partout (ou les animaux sont autorisés bien-sur.)

tout est une histoire de confiance

La confiance d’un animal se construit. Elle n’arrive pas toute seule, c’est un travail mutuel, entre lui et nous.

Au départ, je trouvais que je n’avais pas une relation particulière avec lui, même si, on me disait que si. personnellement, je dirais qu’il a fallut, tout de même plusieurs mois pour qu’il est une relation de confiance. Il ne me connait pas, et vice versa. Je le lâchais, il revenait, il avait des câlins et/ou des friandises. Je travaillais, donc 8h tout seul, mais le reste du tout lui était dédié. Maintenant il me regarde en balade, il fait attention à moi, et moi à lui.

Je lui ai donnée ma confiance, et il me l’a rend en retour.

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le rendu, un pur bonheur

Comme je lui parlais tout le temps, il est super réceptif à la parole. Dès que je lui parle par exemple, les oreilles bougent, ou même, il mets sa tête sur le coté. Ce sont des moments magnifiques et drôles.

Quand nous étions en vacance à la mer, il y avait peu de monde, je voyais Taïko complètement “sur moi”. J’avais donc lâcher la laisse, et avec cette relation, je lui dis simplement le mot câlin et il se lâche et me saute littéralement dans les bras, il se laisse aller.

Une autre fois, nous étions tous deux dans un étang. Et un chien ne fait pas de sur place. Il voulait aller au bord. Je ne vous cache pas que j’ai eu des bleus et des coup de griffe, mais j’ai réussi a le rassurer et le calmer, et nous somme resté dans l’eau.

Voici quelques photos